HypnoPraticienne Certifiée, au sein de la Fédération Française d'Hypnose et des Thérapies Brèves (FFHTB), de la World Hypnosis Organization (WHO) et de International Association of NLP Institutes (IN NLP)
Auteur/autrice : HypnoPraticienne Certifiée
Issue du monde du soin (infirmière), j'exerce en tant qu'HypnoPraticienne en Bretagne. J'accompagne au cabinet, mais aussi sous forme d'ateliers, ou en vidéoLive.
Je me suis formée auprès de 2 centres différents pour avoir une vison la plus appropriée de ce qu'est l'accompagnement durant et après la grossesse.
J'accompagne également les entreprises, pour permettre à leurs collaborateurs de développer/d'utiliser toutes les ressources en lien avec l'Intelligence Emotionnelle.
Vous savez, il est parfois des choses évidentes, et pourtant sur lesquelles on revient sans cesse; parce qu’on n’est pas si sûres. Au cas où on aurait oublié quelque chose… les fameux « AU CAS OU » ! Je parle de la liste du sac de la maternité !!!!
souvenir du sac de maternité…
hihi en écrivant ces mots pour vous, je ne peux m’empêcher de sourire. (pas trop sinon, mon garçon va me prendre pour une neuneu devant son écran). Oui je souris, car dès le 2eme ou 3eme mois, j’ai eu envi de préparer le sac de maternité. En tant que maman solo, c’était à la fois une manière de m’investir, de faire quelque chose en lien avec ma grossesse. Et puis aussi, je pense que mon côté « contrôle » avait besoin d’être apaisé: au moins, c’était fait. Et comme on dit: Ce qui est fait , n est plus à faire ! Tintin!!! j ai dû la recommencer 6 fois au cours de la grossesse.
Parce que , les « au cas où » venaient me titiller. Alors je regardais, rerangeais, je classais, je complétais, j’enlevais,voire même je remettais… hihihi ohhhhh ce sac!
Que mettre dans le sac de maternité ?
C’est pourtant simple: ce dont maman a besoin et ce dont bébé a besoin (…). Et pourtant, la liste de maternité figure parmi les sujets les plus abordés sur les sites de mamans. Comme quoi: simplicité et sérénité ne sont pas associés.
Donc je me suis permise de vous envoyer ce mail, pour vous aider, peut-être. Ou pas. Si c’est quelque chose d’ OK pour vous , alors merveilleux! Une chose de moins à penser. Sinon, si vous voulez tout de même y jeter un œil, alors le lien est en dessous:
Parce que tout le monde ne connaît pas l’hypnose, il peut être intéressant de faire « une séance gratuite offerte ici » pour découvrir, entendre, ressentir, voir ce qu’ il se passe.
Alors, je vous ai fait cette séance pour partager. Quoi de mieux que de partager ce que j’aime!
L’objectif ici est de vous amener de la détente, de l’apaisement, du confort. Et alors que vous progressez dans cette séance, vous gagnez en fierté, en confiance. Vous portez sur vous un regard bienveillant. Et ça fait du bien !
Alors installez-vous de la meilleure des manière qui soit, assis(e) ou allongé(e), qu’importe. Mettez un casque ou des oreillettes pour être dans votre bulle et que personne ne vienne vous déranger durant ces 25 prochaines minutes de séance offerte.
Et si rien ne se passe en vous, acceptez: tout est OK ! ce n’est peut-être pas le bon moment, ce n’est peut-être pas avec ma voix, acceptez. Et parfois, il faut juste une première fois pour ensuite bien la vivre. Au plus vous pratiquerez, au plus ce sera facile.
Tu trouveras ici des tas d’exercices utiles et ludiques pour changer ce qui ne te convient pas, ce qui ne fait plus sens pour toi. L’intelligence émotionnelle définit les capacités à comprendre et exprimer ses émotions, et celles d’autrui. Mais aussi les aptitudes à les maîtriser, les réguler, et à les utiliser dans différents contextes.
Toute chose est un stimulus: ce que l’on touche, voit , entend, sent, ressent. Toutes ces informations viennent titiller nos cellules pour créer un influx nerveux qui sera, plus loin, analysé par le cerveau.
les filtres, qui modifient la communication, et nos choix
De là, ces informations seront traitées et analysées, avec divers filtres: les croyances sociétales, culturelles, les croyances familiales, les croyances personnelles que nous nous construisons. Nos expériences de vie aussi. Tout cela va faire que les informations seront perçues différemment d’une personne à une autre.
Pour peu que vous soyez un as de l’omission (« je pars » => OK , mais où, quand, avec qui, comment?),
Pour peu que vous soyez un habitué de la distorsion
vous posez des étiquettes sur les gens ( « ces gens là sont des fainéants » => OK, qu’est ce qui permet d’ argumenter) ,
vous êtes dans le tout ou rien (« quand je parle, les gens ne m’écoutent pas. Par contre si c’est mon ami, alors là, ils interagissent. » => OK, et donc…les gens n’échangent avec toi, ne t’adressent pas la parole? vraiment, c’est aussi marqué?)
vous avez tendance à généraliser (« les gens viennent aux évènements organisés, mais ne le font jamais savoir! => OK, TOUS, ils se comportent ainsi? OK, et ils font TOUJOURS de cette manière?)
le langage verbal, le choix des mots
Les mots choisis par ceux qui vous parlent, auront plus ou moins d’impact sur vous. En effet, le ton employé, le rythme de parole, la tonalité créera un ressenti différent chez vous et chez d’autres. Selon vos sensibilités.
Le champ lexical a aussi toute son importance. Est-ce que votre interlocuteur ENTEND ce que vous dites, car pour lui il est important d’en discuter, de verbaliser (audio)? Est- ce que cette même personne VOIT ce que vous lui dites (visuel)? Peut-être alors, est-elle en capacité de ressentir ce que vous exprimez (kiné)? Selon que vous ayez un plus grand attrait pour l’un ou l’autre de ces champs lexicaux, les messages passeront plus ou moins bien. Alors bien-sûr, nous ne sommes pas 100% de l’un et 0% des autres. Les situations, les personnes, tout nous amène à utiliser plus de l’un et un peu aussi des autres.
L’état interne jusqu’aux actes, au-delà des mots
Ainsi, ce que nous vivons, notre manière d’analyser, de percevoir les choses va créer en nous des ressentis particuliers, un état interne qui va agir sur notre système nerveux autonome. C’est ainsi que certains textes peuvent nous serrer l’estomac et nous rendre triste, ou en colère. Au contraire peut-être, entendre une voix ou voir quelqu’un, et avoir comme des paillons dans le ventre…
Ces ressentis vont nous apaiser et baisser notre rythme cardiaque ou nous mettre en accélération cardio-ventilatoire. Nous faire suer. Nous faire trembler.
Et tous ces ressentis et les émotions associées nous feront alors agir d’une certaine manière… visualisez donc… à la vue de cette personne si particulière pour vous, êtes-vous tétanisé? Ou bien devenez-vous agressif dans vos propos? Ou peut-être passez-vous à l’action, alors que vous étiez en train de trainer !
Et oui, nos ressentis, issus de notre perception, elle-même issue des évènements vont faire que nous alors agir de telle ou telle manière.
Conclusion
Prêtons tous attention aux mots employés, ou à ceux omis. A notre manière d’être. Communiquer créer des ressentis chez l’autre, nous pouvons donc induire un comportement positif ou négatif.
Mais cela nous amène AUSSI, à être plus dans la compréhension de l’autre. S’il perçoit les choses d’une façon, c’est en lien avec tous ces filtres qui ne sont pas les mêmes que les nôtres !!! On s’aperçoit alors de suite que ce que l on dit, ce qui est compris et ce qui en ressort, n est pas quelque chose de si simple. Il y a toute un éventail possible. Il n’y a pas qu’ UNE réalité, UNE vérité. Il y a la nôtre, et toutes celles des autres.
Communiquer efficacement, dans le respect, l’acceptation de l’autre n’est pas choses aisée. Communiquer mérite toute l’attention de chacun.
L’estime de soi … dimension impalpable de notre personnalité dont nous n’avons pas toujours conscience. Et pourtant, fondamentale car basé sur la Confiance en soi, la Vision de soi, et l’ Amour de soi.
Amour de soi: amour de soi inconditionnel, avec cette petite voix en nous qui dit que nous sommes dignes d'amour et de respect, et cela indépendamment de nos performances. C est l'élément le plus intime de l'amour de soi.
Vision de soi: ce regard que l'on porte sur soi, non pas sur des éléments factuels, réels, mais bien sur cette conviction intime que nous sommes porteurs de qualités ou des défauts, de ressources ou de limitations. C'est cette partie qui permet d'oser mener à bien des projets perso.
Confiance en soi: faculté de penser que l'on est capable d'agir de manière adéquate dans les situations importantes. Indispensable, la confiance en soi autorise les actes qui, eux mêmes, maintiennent ou développent l'estime de soi.
Ces éléments ont un lien d’interdépendance.
Selon les auteurs, chercheurs, il y a deux courants: ceux qui pensent qu’ il y a l’ Estime de soi, générale. Et d’autres, qu’ il y a des Estimes de soi: par exemple l’une portant sur le professionnel, qui n’ est pas du tout la même que celle portant sur la vie sentimentale, ou sur la vie familiale. Cependant, un succès ou un échec dans un domaine aura tendance à influencer les autres.
Deux facteurs influençant nourrissent l’Estime de soi: le sentiment d’être aimé et le sentiment d’être compétent.
Basse Estime de soi
C’est un handicap dès lors que l’on est amené à parler de soi, car l’image de soi peut être floue: avec un filtre empreint de sagesse ou de prudence qui empêche de parler de soi de manière trop affirmée. Le sujet manque de conviction. Allant même, parfois, jusqu’à modifier son discours en fonction de la situation ou des personnes en face, par soucis d’approbation sociale.
Cette image floue découle de la méconnaissance de soi-même. Le sujet en arrive à se calquer sur les autres, plutôt qu’à construire ses propres expériences. Toutefois, il est bon de se remémorer que la manière dont on parle de soi est différente d’une région à une autre, d’une culture à l’autre. Cette manière de communiquer reflète les états internes et est bien souvent contagieuse. Contagieuse autour de soi et en soi: plus nous avons de doutes, plus nous avons du mal à nous prendre en main. En prenant des décisions, on rentre dans un élan d’actions, et l’Estime augmente. Pas d’hésitation, de tergiversation.
La prise de décision est délicate lorsque l’Estime de soi est basse: face à un dilemme, la peur de se tromper s’installe. Comme si il y avait un bon et un mauvais choix, alors que chaque choix offre des avantages et des inconvénients, qu’il est bon de soupeser.
La confirmation par la critique ou par la situation est recherchée chez ses personnes. Afin de justifier leur ressenti, elles cherchent à entendre ce qui ne va pas. Elle se mette en situation de répondre à leur ressenti. Qui n a pas déjà entendu l’autre se plaindre de n’attirer que des personnes toxiques: en réalité, cet individu s’auto-sabote, et ainsi la situation devient exactement celle dont il se plaint. Alors si rien ne va, ce n est pas de sa faute.
Haute estime de soi
La critique est reçue par celui qui a une haute estime de soi, sans qu’il soit submergé par ses émotions négatives. Pour autant, il peut mal l’accueillir, comme une forme de remise en question de qui il est.
L’échec n’est pas un élément limitant pour celui qui a une haute estime de lui. Il y pense mais ne le craint pas. Il agira malgré tout sans perte du sentiment de contrôle. De même en cas de succès, celui ci ne sera pas vécu comme une perte du sentiment de contrôle.
Syndrome de l’imposteur: ayant réussi dans leur domaine, ayant des opportunités, des responsabilités, l’individu ne se demande pas si sa place est légitime, ne redoute pas de commettre une erreur.
Tout est possible !
Notre société occidentale basée sur la performance, la réussite, l’action vante ses profils à haute estime de soi. Persuasion et persévérance! Avoir un basse estime de soi n’est pas forcément un inconvénient.
L’attention portée aux critiques par ces profils en font des personnes acceptées et entourées des autres, qui tiennent compte des conseils partagés. De plus, elles font preuve très souvent d’humilité, de modestie. Contrairement à ceux qui ont une haute estime d’eux qui peuvent à l’excès être suffisants. Mais gare à eux, ils risquent d’être moins vigilants et de s’obstiner à rester sur un chemin qui n’est pas le bon.
Respect des valeurs
En tant que thérapeute, je voies régulièrement des personnes à faible estime de soi, dont l’objectif est d’augmenter ce ressenti. Alors l’important n ‘est pas de savoir dans quelle case le client doit se situer, mais surtout comment il veut s’adapter au monde qui est le sien, au monde qui l’entoure. Il est primordial que le client évolue, tout en respectant les valeurs qui sont les siennes.
Haute estime ou modestie, tout dépendra de vos besoins, de vos projets, de vos ressentis. Quoiqu’ il en soit, que ce soit au cabinet, ou en entreprise, ça se travaille.
Les mécanismes de défenses pour préserver l’estime de soi
Certaines situations particulières mettent à mal l’estime de soi:
difficulté d’emploi
aspect physique et critères d’attirance, de beauté
difficultés relationnelles face à des gens qui en imposent
les critiques, le sentiment d exclusion
maladie ou trouble (dépression, dérapage maniaco-dépressif, narcissisme, dysmorphophobie, alcoolisme, traumatisme physique ou psychologique, etc)
Certains comportements viennent rehausser, défendre l’estime de soi, lorsque celle-ci est atteinte, au coup par coup.
Ces mécanismes nous préservent de la pénibilité des ressentis. Plus nous sommes fragiles, plus nous en utilisons, afin de ne pas nous confronter brutalement à la réalité.
Les différents mécanismes:
évitement/retrait: face à la peur d’échouer.
déni afin de ne pas aborder le problème.
projection qui attribue ses propres sensations négatives aux autres.
fantasme et rêverie pour celui ou celle qui se limite à imaginer la réussite, sans passer à l’action.
rationaliser permet de reconnaître la problématique mais attribuer les causes à une tierce personne afin de ne pas se remettre en question.
compensation permet de fuir en s’investissant dans d’autres domaines.
Tout le monde a recours à ses moyens de défense. C’est quelque chose de normal, qui nous permet de nous adapter ponctuellement. Lorsque le recours est permanent, alors il est intéressant d’y prêter attention.
Mais n’allez pas croire que seuls ceux qui ont une faible estime de soi y sont confrontés: Les « Haute estime » passent plus à l’action. Certes, ils ont alors plus de succès mais aussi , potentiellement, plus d’échec. Cela pourrait les impacter mais parfois, pour y échapper, ils vont avoir recours à ces moyens de défense.
externalisation de l’échec: c’est la faute de quelqu’un d’autre, jamais d’eux.
autocritique limitée et spécifique: tout est parfait sauf ce point là qui donne lieu à l’échec.
pas de leçon tirée: si ça n’a pas marché là, ça ira mieux la prochaine fois
D’autres comportements viennent booster l’estime de soi, sans que nous en ayons forcément conscience:
acheter, cela valorise, flatte l’égo.
posseder, fait suite à l’achat. Comme une prothèse à l’estime de soi. Beaux meubles, belles voitures, beaux sacs, technologies avancées…
montrer, si acheter et posséder est bon, montrer permet mettre une couche supplémentaire à l’estime de soi. Ex/ rappelez vous de cette publicité pour les cartes bancaires dédiées aux comptes bien remplis -> « Signe extérieur de vos richesses intérieures »…
faire des envieux flatte notre enfant intérieur qui a besoin d’être admiré.
exercer une compétence rare, être unique, un pionner.
avoir le contrôle d’une situation, gérer.
dénigrer, se moquer, cette médisance qui fait du bien car elle éloigne la concurrence, avec une forme de snobisme.
la pêche aux compliments empreinte de fausse modestie, lorsque les faits sont relatés.
Bref ! A des degrés divers, vous vous êtes certainement reconnus. Ce sont des mécanismes et des actes que nous mettons naturellement en place. Une introspection nous permettra d’y voir plus clair pour déterminer s’il s’agit d’un phénomène isolé ou d’un mécanisme permanant.
Le client qui pousse la porte de mon cabinet a conscience de son problème: il vit avec, et le subit. Il bataille au quotidien avec sa problématique. Le seul soucis, c’est que plus on lutte plus la problématique prend de la place. Vous savez, un peu du genre « Bon, cette nuit, il faut que je dorme hein… », ou bien « Allez, je suis forte, et je ne cède pas au fromage crémeux qui est dans le frigo ». Est-ce à dire qu’il serait bon de changer en se réconciliant avec soi-même?
Le client qui pousse la porte de mon cabinet à décidé de changer, et ne veut plus faire semblant. Il veut se regarder en face, lui et son problème, main dans la main. Il veut se réconcilier avec lui-même. Et pourtant…
Et pourtant les mots sont durs lorsque le client me décrit ce qu’il traverse. En effet, il s’en veut d’être conscient du problème et de ne pas s’en débarrasser , par sa simple volonté. Et du coup, il se maltraite:
« Pffff je fume et pourtant, je sais que c est mauvais ! je suis nul ».
« Je suis trop stressé par l’annonce de ma maladie, alors je tourne en boucle. »
A chaque parole maltraitante, à chaque pensée pleine de jugement, le client fait le lit de sa problématique. Et celle-ci s’imprime de plus en plus en lui. Pourquoi partirait-elle, alors que le terrain lui est propice? Cela devient alors un cercle vicieux…
Et si tout ceci n’était pas une malédiction? Et si il n’était pas question de lutte, de force? Mais uniquement une manière d’aborder le problème, d’angle de vue sous lequel on regarde le problème dont on veut se débarrasser.
Alors s’engage une réunion des parties pour le mieux-être du client, où s’observent les messages envoyés par le corps et l’esprit. L’un et l’autre ne veulent que son bien. Comme cette cigarette qui, adolescent, lui servait à intégrer le groupe des gens cool. Et qui aujourd’hui, bien qu’elle soit non désirée, reste incontournable à la pause, en soirée, en période de stress etc… ce fameux bénéfice secondaire derrière tout problème. Dès lors que l’on comprend ce bénéfice secondaire, les choses deviennent logiques! « Je suis tellement stressé avant un examen, c’est nul » devient alors « Avant un examen, le stress me donne encore plus d’élan pour continuer à travailler, pour réussir ». Ah… de suite, ça ne sonne pas de la même manière. Et ainsi il devient possible de mieux s’accepter, de faire la paix et d’entamer la route du changement avec bienveillance envers soi.
Niveau Praticien en PNL – Avril 2021
Lors de ma dernière formation, je me suis intéressée à la PNL (Programmation NeuroLinguistique). J’y ai découvert à quel point, parfois, nous nous auto sabotions. Pour quoi? Pour garder ce bénéfice secondaire ou cette utilité. Alors désormais, le client qui vient au cabinet, qui a conscience de son problème, qui ne veut plus faire semblant, répond à des questions précises.
Qu’est ce que vous voulez changer? Que voulez vous gagner, ressentir à la place? Et quel serait l’inconvénient à ce que ce problème s’en aille? Oui vous avez bien lu: si il y a un bénéfice secondaire établi ou bien une utilité particulière alors, il y a de fortes chances que ça présente un problème lorsque ce ne sera plus là… Alors on peut commencer à travailler et à gratter le vernis, pour laisser apparaitre non pas LA vérité, mais UNE vérité. En l’ occurrence, cette vérité qui est celle du client à cet instant. Changer en se réconciliant avec soi-même… « Lorsque tout est gris, déplace l’éléphant » (Proverbe indien), tu verras à quel point le monde est différent.
« Prenez un instant pour imaginer que vos problèmes vous veulent du bien, qu’est ce que cela changerait dans votre vie? » (Vos problèmes vous veulent du bien – Valérie Roumanoff- Ed Larousse. P17)
Depuis quelques temps déjà, vous vous sentez perdu. Vous vous posez des tas de questions , et celles-ci semblent sans réponses, vous laissant seul face à vous-même et à ce vide. Vide de sens, vide d’action, vide d’envie, vide de … parfois, il n ‘y a pas de mots à y mettre. Juste ressentir: un poids en soi. Une sensation lourde, comme ressentir les nœuds qui bloquent et qui ne demandent qu’à se dénouer. Ressentir le besoin de dénouer des nœuds pour avancer de nouveau…
Plus vous y pensez, plus vous êtes perdu car la solution n’est pas là.
Ces derniers temps sont propices à ces ressentis désagréables. Vous remarquez que vous tournez en rond, que vous n’êtes plus tout à fait vous-même. Par conséquent, vous êtes mal à l’aise.
Vous vous reconnaissez au travers de ce descriptif? Vous avez déjà ressenti cela, encore maintenant peut-être.
Vous y avez porté attention!
Ce qui est super, c est que vous y avez porté attention. Vous n’avez pas mis un torchon au dessus de vos ressentis pour les cacher. Vous êtes quelques part déjà dans un mouvement. Celui de ressentir les noeuds, d’analyser vos ressentis, les émotions. De ce fait, vous prenez du recul sur votre état interne. Et vous l’observez.
Comment je sens les choses en moi? Est-ce que c’est un ressenti immobile ou au contraire très en mouvement? Peut-être a-t-il une couleur ce ressenti? Vous avez porté attention à ces tensions internes apparues avec le temps, à ces nœuds qui ne demandent qu’à se dénouer pour vous permettre d’avancer.
Vos besoins pour vous libérer de ces noeuds et avancer?
Désormais, avec l’aide de ce recul sur vos ressentis, vous pouvez déterminer ce dont vous avez besoin.
Libérer cet endroit en vous qui est comme rempli de cette sensation, ou bien changer la mobilité de ce ressenti? Quel est le but, in fine? Vous avez ce besoin de retrouver de l’entrain, de la légèreté. Vous voulez ressentir cette confiance à l’intérieur de vous, et aussi cette confiance en l’avenir.
Tout en prenant du recul face aux évènements de la vie, car la vie est faite de hauts et de bas, votre désir est de reprendre les rênes de votre vie: qu’il est bon d’oser entreprendre, oser se tromper et apprendre, oser …
Vous constatez cependant que cela vous est difficile seul. Comme s’il s’agissait de monter une marche trop grande. Et pourtant, il est nécessaire de bouger les choses dans votre vie. Vous le savez, cela commence par changer les chose EN VOUS. Agir, passer à l’action est le moyen de retrouver l’élan tant désiré pour dénouer les nœuds, pour retrouver cette liberté qui est vôtre.
De l’importance des petits pas…
Les ressources pour avancer
Nous sommes les acteurs de nos vies, quelles que soient les épreuves traversées. Et oser agir, faire des choix, apaiser les ressentis pour avancer de nouveau, tout cela dépend de nous. En effet, « chacun d’entre nous possède en lui, toutes les ressources nécessaires pour atteindre le changement désiré ».
Nous pas que si nous voulons, nous pouvons, Pof, comme par baguette magique. Non. Par contre, nous avons un tas de capacités, d’apprentissages, en nous, qui nous permettent d’avancer petit à petit.
N’est-il pas temps alors de porter désormais votre attention sur ces capacités, ces ressources, ces envies, cette confiance?
L’accompagnement pour dénouer les nœuds et avancer
Si vous vous sentez désormais prêt, et que vous avez besoin d’être accompagné dans ce changement, alors appelez-moi ou prenez RDV en ligne via Doctolib.
L’accompagnement que je vous propose utilise divers outils que sont l’hypnose, la PNL( Programmation NeuroLinguistique), la visualisation positive entre autre.
Libérez-vous de ces nœuds qui vous entravent, retrouvez la liberté de passer à l’action. Commencez à entrer en mouvement, contactez-moi.
C’est un mécanisme est primitif, en lien avec la peur, qui indique que c’est le moment d’agir:
courir pour fuir
se défendre et attaquer
ou ne pas bouger, faire le mort pour tromper la bête, l’ennemi
Donc le stress, y compris au travail, est un moyen de survie.
En effet, celui-ci va nous permettre d’avoir une réaction adaptée à la situation.
Mais ce danger , cette situation gênante va provoquer en nous des productions hormonales notamment en cortisol, et adrénaline.
Ces productions physiologiques entrainent une augmentation de la fréquence cardiaque, pour augmenter l’apport en sang et donc pour augmenter l’apport en oxygène circulant auprès des muscles.
Il va y avoir aussi une augmentation de la fréquence respiratoire pour, là aussi, augmenter l’oxygénation pour des muscles en action.
Et enfin, augmentation de la glycémie pour libérer du sucre dans le sang, afin que le muscle et le cerveau aient de l’énergie.
Par ailleurs, on repère 3 périodes en lien avec le stress, au travail, et de manière générale:
1ere phase
hyper vigilance au moment de l’alarme
qui génère l’action (une des 3 vues plus haut)
2e phase adaptation
pour une résistance dans le temps au stress.
Avec augmentation du cortisol ++
3e phase
Epuisement l’organisme ne parvient plus à gérer.
Baisse du système immunitaire => apparition de maladies
augmentation de la tension artérielle => augmentation des maladies cardiovasculaires
la capacité d’adaptation a été dépassée, alors la phase de résistance (au stress normal pour l’individu) ne permet plus de redescendre le niveau de stress. ……. Ce qui peut amener au Burn-Out. C’est une vraie problématique de nos jours.
Le stress chronique:
le profil type de la personne concernée, du collègue de travail est connu
Bon= « Eustress« . Pousse à atteindre nos objectifs avec désir motivation créativité dépassement de soi -> quelque chose d’exaltant.
Donc le stress positif est à cultiver car il nous pousse à sortir de notre zone de confort. Il permet aussi d’établir des stratégies pour s’adapter au mauvais stress.
l’agent stresseur: on ne peut pas toujours l’ éliminer
nous: on ne peut pas se soustraire à ce que l’on a à faire
alors changer notre perception de la situation, prendre du recul pour voir autrement . L’état d’esprit optimiste aide à intégrer que l’inquiétude n’aide en rien à la résolution de problème, n’aide en rien à avancer.
Autrement dit stress ou pas stress, l’important c’est l’équilibre comme pour beaucoup de choses.
Les sources (directes ou indirectes) de stress au travail:
l’emploi avec réorganisation/ télétravail ++ en ce moment
l’environnement avec pollution bruit et tout ce qui impacte.
L’hygiène de vie avec moins de sommeil, des repas déséquilibrés voire absent
vie familiale répétition des tâches /gestion de l’agenda des enfants /problématiques de couple.
Vie perso avec estime de soi/ image de soi/ croyances limitantes/ nos propres inquiétudes.
Réaction face au stress:
physique,
cardio-vasculaire
digestif
cutané
migraine
obésité
fatigue chronique
troubles du sommeil
douleur avec tension physique notamment haut du corps
respiration plus courte
troubles de la libido.
Psychologique et émotionnel,
l’adrénaline limite la concentration et la mémoire,
plus facilement en panique
se sent plus fragile, confus.
Sensibilité émotionnelle.
La gestion des émotions est plus délicate.
Social,
augmentation des conflits
avec baisse des activités, des interactions.
Comment reconnaître un profil stressé au travail
motivée
sensible au regard des autres
se voit fort
ne délègue pas
fais beaucoup de choses même le soir
persévérant
ne se fixe pas de limites
planifie peut ou pas
…vous vous reconnaissez ?
Augmenter votre résistance au stress,
se connaître,
reconnaître ce qui est bon ou toxique à l’instant t
écouter son corps
trouver son rythme.
Favoriser la récupération par des pauses de la relaxation.
Lâchez prise, acceptez que tout n’est pas comme on veut
prendre du recul.
Changer pour ne pas reproduire.
Percevoir autrement
et identifier les sources de stress
comment connaître les besoins?
Utilisation de la pyramide de maslow et à chaque étape se poser la question:
Y a-t- il un écart entre mes attentes et la réalité ?
Ou sont les écarts ?
Se poser la question à chaque niveau de besoins.
Cette pyramide est un très bon moyen à utiliser par chacun.
Solution pour lutter contre le stress au travail et avoir une bonne résistance.
Faire une activité physique qui baisse l’anxiété /augmente l’estime de soi /c’est une méthode non médicamenteuse pour les médecins => pouvoir trouver le plaisir avant la performance.
Les loisirs, comme l’art thérapie/ s’ émerveiller de choses simples/ passer le temps au du temps, se déconnecter.
Les relations: l’humain est un être social alors ne pas s’isoler. S’entourer de personnes positives.
Et enfin avoir un sommeil réparateur.
Quels sont les différents outils que l’on peut utiliser
la musique
Elle adoucit les moeurs,
Elle baisse la fréquence cardiaque
Elle baisse le cortisol.
Quels que soient vos goûts/ pas besoin de musique de relaxation obligatoirement
Uniquement prendre du plaisir ce qui augmente la sérotonine et donnera encore plus de plaisir
S’autoriser à bouger et à danser.
la marche
Elle augmente l’oxygénation
Elle amène à la hausse de la sérotonine et de la dopamine
Ainsi que de l’endorphine
C’est un antidouleur
Et cela augmente la mémoire.
Permer d’avoir plus de recul face à nos pensées.
Contempler autour de soi/ entendre les différents bruits et ressentir les odeurs.
Profiter des petits riens essentiels.
Pratiquer la pensée positive
Même quand ça va mal, pratiquez. Prendre le temps de voir, de réaliser, les bonnes et belles choses autour de nous. Un paysage, une musique, la météo du jour, un instant de répit apprécié, un article sympa à lire (…)
Les études montrent que la pensée positive augmente la longévité et augmente l’immunité.
C’est ce que l’on peut appeler la méthode Coué
Le cercle d’excellence de la pensée positive
Les choses appréciées, magnifiées m encouragent
Alors je prends plaisir
Du coup je gère les choses/ je suis fière car j ai pu gérer malgré les sources de stress au travail
autres outils l’ hypnothérapie ,
Parce que c’est mon métier, mon domaine de compétences, je suis là pour libérer les tensions/ l’agitation émotionnelle au sein d’une relation d’aide.
Vous accompagner à prendre conscience de vos potentiels, de vos capacités.
Pratiquer des exercices de respiration, visualisation positive, et des métaphores /suggestions.
Vous êtes acteur de votre mieux-être.
Des exercices sont utiles à pratiquer au quotidien (je vous donne d’ailleurs régulièrement une « prescription de tâches »)
Audio Hypnorelaxation de défusion (stratégie d’acceptation et d’engagement)